TOILES- O
André Turpin a subi de la vie les grands heurts et les grandes joies qu'il faut pour amener un homme à une maturité accomplie et à un art épuré en dessin et en sculpture. Quant à la peinture à laquelle il a accédé relativement tard, il en va autrement : les toiles témoignent d'une vitalité foisonnante, encore ébahie par sa jeunesse et par la joie de la découverte.
Les peintures d'André Turpin s'imposent parfois comme des coups de poing. Parfois elles font exploser l'inattendu de la vie, en fixant des moments d'émotion qui crient dans des couleurs tragiques. Ici encore, naissent des têtes qui figent un moment fugace dans l'éternité dont elles se montraient dignes. Sur d'autres toiles, on sent des mouvements de tout le corps, des jeux ou des danses de la nature, des élans naïfs ou des visages qui se font symboles au bord de l'abstraction. Si l'on voulait qualifier son œuvre picturale, on pourrait la classer avec les automatistes et avec les symbolistes. Mais ces étiquettes ne le limitent d'aucune sorte : il a toujours fui les cadres, cherchant à faire du nouveau, se laissant inspirer par la matière.

Le papillon

Léliane

Soleil de nuit

La Chaise

La Chinoiserie

Dianna

Ésetta Amour

Le soldat

Anik II

Topito petit frère

De derrière de devant

Fenêtre

Au regards bleu

Méza

Le huitième mois

La dérive

Cité Jaune (Nime la nuit)

Deux vases

Feurette

La chinoise

Cité jaune

Le joueur

Rouge noir

Le vase bleu

Velopette

Tête de bois

Les rossignols

Le voilier

L'automne, oct

L'enfant et l'oiseau

Bleuté pointillé

OO7

Banc de poissons

Humanoïde (Humanoui)

Un Deux Trois

Hommage à Chagall

Chinoisette

Être Lévna

Femme enfant

La mer

Le village rouge

Doucera

Loua Brata

Razéta

Mon chère amour

La Rue

Anik

La fenêtre

Femme à bateau

Le double

Sans titre - TS-76

Sans titre - CA-185

Bouche d'amour

Bonzaï Paysage Japonais

Nature Morte

Cheval de bois

Cité Jaune

FI - La luna

Japonaisette

La tourmante
























